Thursday 29 May 2008

USC, maybe UCLA

revu le pilote de Gossip Girl tantôt. L'actrice qui joue la mère de Blair n'est pas celle qu'on verra ensuite - ça arrive souvent c'est normal ; ce qui est plus surprenant c'est que l'appartement où elle reçoit tout le monde n'a rien à voir avec le penthouse de tous les autres épisodes, ni le salon ni la chambre de Blair, etc. À la limite ils en auront fait l'appartement de Hazel... Et Nate, au début de la série il a les cheveux longs, peignés vers l'arrière ; c'est plus tard qu'il se les coupe et se taille une mêche A&F : mais dans la scène du footing avec le Captain son père, quand ils parlent de sa relation avec Blair qui va mal et du deal que le père cherche à obtenir avec la compagnie Waldorf, il a déjà cette coiffure ; et dans une des scènes suivantes, au resto avec B, il retrouve ses cheveux longs plaqués. Pareil pour Chuck : il parle de ses parents comme s'ils étaient encore mariés (maybe I should tell my parents the hotel they just bought is serving minors - well if you get a drink then they're also serving pigs) alors qu'on apprend assez vite que Bart Bass, en dehors de sa liaison avec Lily, est officiellement célibataire...
L'arrivée de S à la fête chez les Waldorf (donc dans ce décor qui disparaîtra) m'avais mis sur le cul en novembre : tout le monde a appris par sms qu'elle était de retour, et cet échange de regards entre elle et Nate, puis B, qui passe, en un ccc magistral, d'une expression de rancune à un masque rejoice pour le retour de sa BFF, fuck :O
(hier soir j'ai repensé à Kelly de Au(uuu)stin, qui portait aussi un manteau de fourrure, comme IVK -- décidément...)
Et quand S et D crash la Kiss on the Lips party, à laquelle elle n'était pas invitée, en vingt secondes tout le monde est mis au courant par une alerte sms GG, c'est pas incroyable ? tu ne l'as toujours pas vu ? je te l'échange contre le pilote de The OC ?
Et la façon dont B traite Nelly Yuki. Beaucoup plus tard : Nelly est une petite Chinoise surdouée qui surpasse tout le monde scolairement et extracurricularly aswell, que B décide de détruire à la veille des SATs. L'épisode d'après ou le suivant, elle fait partie de la bande... yea, she did

oh, et la mère de Nate est une descendante de Cornelius Vanderbilt, (statue à Grand Central) ; ça vient des livres ça sûrement (quoique je n'en saurai rien tant que
la vitesse d'enchaînement, c'est ça le plus fort, try telling someone everything goes on in one ep Georgina, par exemple, qui fait basculer la série au-delà du non retour en trois épisodes se fait oblitérer en quoi, cinq minutes ?

est-ce que les chats mangent les escargots est-ce qu'ils écrasent leur coquille pour récupérer leur chair ? c'est JG avec le costume gris et les oversized blanches ?


"But really there’s only room for one queen of blogging on the UES and that’s moi)"

Tuesday 27 May 2008

action15

c'est mon mot de passe myspace
je suis occupé à regarder ses photos : sa copine rousse, je la veux




Thursday 22 May 2008

beaucoup de

peut-être que The Mission est plus fin que Exiled, oui : disons que la charge de celui-ci est beaucoup plus lourde ; mais rien ne permet d'oublier au moins trois fulgurances du film : le dîner après le premier affrontement (plus précisément la réplique "bon, si on dînait"), le "où est-ce qu'on va maintenant -- à la maison !" et la reconnaissance d'un pair chez le flic à lunettes. Pendant très longtemps, toute ma vie jusqu'à cette lumineuse conversation avec Gilles et Claire (enfin je n'ai fait qu'écouter), je me suis pris la tête avec cette histoire de points communs qui fonderaient une amitié ; je n'étais pas d'accord du tout mais sans parvenir à vraiement voir plus loin ; j'ai fait un pas en avant quand même en pensant à un point de départ, que je nommais intérêt (j'étais pas le premier, MdM l'écrivit avant moi) et qui correspond plus ou moins, dans la bouche de Gilles, à cette affaire de perception : ce qui nous ramène à l'attaque du fourgon dans Exilé et ce flic que la Horde reconnaît d'emblée comme un des leurs--les lunettes la clope (ou le gum je ne sais plus) et le rifle composent un charme auquel ils sont tous sensibles et la voilà donc, ma petite idée d'intérêt : le leur est éveillé par les gestes de ce gars, et ils savent qu'ils parleront le même langage.

rien à voir avec des intérêts communs, des idées communes, etc. puisqu'il s'agit de se charmer et de se comprendre ; et si peu de mots : on n'y recourt qu'à condition de comprendre qu'un geste charmant ou une phrase charmante c'est la même chose, comme un geste ou une phrase vulgaires (évidemment, si on a des amis qui zozottent on ne verra pas le rapport). Les amis les gars d'une même bande réagissent de la même façon aux mêmes formes de vulgarités, et en même temps (communauté de la perception) ; dans The Mission et Exiled les gens vulgaires on les bute. Je ne nie pas ton humanité, mais tu me ball à me toucher les cheveux et à tomber ta cendre dans notre cendrier alors casse-toi. On peut aussi imaginer une forme commune de détachement (les Mods, dont chacun trouve sa propre mesure dans l'allure commune de la bande ; tous posés différemment, mais sur les mêmes marches, etc.)
Bandes fermées? ben non, la preuve par le flic cool dans Exiled (et Anna pour les Mods) : elles comptent un noyau dur historique, incassable peut-être, mais on peut y entrer, ou en devenir l'ami, à condition de déjà porter la veste (pas d'épreuve à la con chez moi), ou de la racheter si elle a été salie (Only Angels Have Wings).

Dans GG le filthy pack se réunit face à un ennemi commun ; ils se détestent un peu entre eux (pour des histoires de cul) mais se sentent autant menacés que celle d'entre eux qui l'est directement, donc il font front commun (à peu de choses près). À ce propos, Dan est accepté de bon coeur chez Blair pour la première fois, alors qu'elle lui apprend à manigancer (donc à employer le même langage qu'elle) (scène délicieuse, surtout le "right on schedule" de B et son mouvement de tête, totalement craquant). Dair (Dan + Blair friendship), c'est la rage sur les forums de fans, si j'ai bien compris (mais ça ne va pas très loin pour l'instant).


le rôle du chef quand il y en a un? il reste concentré en général quand les guys ont besoin de déconner. Parfois il s'approprie l'objet du divertissement (une girl, ou la boule de papier dans The Mission), mais mener le groupe reste prioritaire. Rester de marbre face au danger, ou après lui (Zoé Bell dans le plus beau passage de Death Proof)


voilà pourquoi parlent les gestes, la dégaine le style, etc. pourquoi il faut être superficiel. Quand on se comprend sans se parler il s'agit bien de cela. Et quand tu ris sans les autres, quand tu te tais quand tous s'esclaffent alors je vois bien que tu es le seul dans toute la pièce à comprendre





Wednesday 21 May 2008

for all eternity

JR m'a demandé si ça va, si je m'y retrouve chez Ta alors que V et C m'ont dit qu'il ne s'adresse jamais aux stagiaires. Il revient de Cannes, content parce que le film de DMV (chef-op sur les films de CR) va sûrement se vendre pas trop mal : V, qui traînait à peu près tout le temps avec P-Joy de C14 et É de Ta France, pouvait entrer partout et rencontrer des vendeurs qu'elle retrouvait le lendemain. Content aussi car LSD a été bien reçu -- il y a eu un entretien avec SH dans le Monde et Fatso, qui n'avait rien à faire là, a appelé AJ pour lui dire qu'il avait adoré le film et était prêt à utiliser son influence pour le faire vendre aux US. Je lui ai dit que SK avait aimé (sans ajouter qu'il y voit des lacunes). JR a adoré Lorna, qui compte une scène d'amour magnifique et nouvelle pour les Frères. Et OG est admirable dans Home -- j'aime encore plus ce mec depuis que C m'en a parlé : un type adorable et qui sait se débrouiller (se déplacer tout seul par exemple, contrairement à klotz). Ah, et JL est allé voir CT pour lui faire une tirade contre Lorna, faut-il être con -- de toute façon peu de gens aiment son film je crois


DMV a eu JM au téléphone au sujet de l'affiche ; si ça se fait c'est classe quand même et ça me fait plaisir car j'y aurai un tout petit peu contribué

Two Lovers Two Lovers Two Lovers

voilà pour Château

Gabriel, l'ami de Léa, il ressemble pas mal à Brody nan ?

dater la pop je ne sais pas... ma collègue C me fait vraiment penser à CM-822 et surtout à JGDDV... disons que Robert Smith et SY seraient les vrais adultes, récemment rejoints par Damon Albarn, qui, depuis Thirteen, n'a plus de tache de bave sur son tee-shirt -- Thome Yorke ? -- ; et le reste, plutôt encore teens, ou teens, pour ceux qui le resteront et pour les dead men to love. Ce n'est pas simple : SY jouent assis (leur côté jazz), mais pas tout à fait. Donc vraiment je- et est-ce qu'on résiste à une chanson pop ? comme au cinéma ? est-ce qu'on dit d'abord Non ? je crois que ça arrive souvent oui

coast to coast c'est quand la colère est retombée et le mouvement en marche je crois, ou un peu avant cela : quelques pas en ville qui se changent en tempérament, ou l'inverse -- une question d'allure et d'yeux ouverts, en somme (comme toujours). Je ne suis pas clair : mais je ne suis ni compositeur ni écrivain ; j'essaie juste un peu

je me suis toujours dit comme ça que pour s'habiller, le mérite consiste à dénicher les meilleurs articles, que l'argent obtient ce que le goût n' que l'argent obtient ce que le goût manque de relever (Fever Pitch : "you're that rich ? -- Yea... -- Why don't you dress better ?")
mais je me trompais (Chuck Bass)

y a des noms complètement fous dans la correspondance d'IVK, comme ABK ou PVH et je n'ai pas tout vu. Je te promets de travailler d'ici à dimanche, ou mieux, samedi car samedi soir c'est Pireuse et ça va être l



le plus beau prénom féminin ?
Camille ? Marlen ? Louise ? Sylvia ? Scarlett ?
Thétis ? Cassie ? Kiddo ? Sorsha, Abernathy

VV

"so i left dc... happy and couldn't sleep as we made our way to philadelphia... johnny brendas... and a radio show where we spent most of the afternoon. i suddenly started getting sick. sore throat. flu.... fever... not how i'd planned things. the gig that night was tres difficile. i couldn't really sing, sounded like some jumbled rock n roll tune, sounded like dead tongues. nick was feeding me tea from the sidelines. my head was on fire. my throat was all but closed. whatever voodoo horse i'd been riding, sat down to nap and left me losing.

...
and they're still selling crack in the metro so it's nice nothing's changed. but my big mission today was to find one of montreal's old photobooths. in 98 they were in almost every metro station... now there's only a few. but there's a haunted one at McGill. and i don't lie. i took a photo of myself and a picture of a man came out in an indian head-dress... my pic was stuck to the back of his but my face had been obliterated. i will scan these in and show you when i get somewhere i can do that. until then, let your imagination run wild. and hey im sorry these stories are coming to you sans picture... but i tried using a digital camera for about a month for this reason alone, and sorry, i hate it... so be patient cos i'd rather show you real photos that look good and feel good and all that.
au revoir, from Montreal.

Tuesday 20 May 2008

tantôt, la grosse tête des Dardenne, l'École des dragueurs, satisfaction cannoise vicaire, coach14, Jon Heder/AW, Brody/G, white ladies, tentative Stella, explications sur GG

j'espère prendre tout ce temps

Sunday 18 May 2008

someone tried to sell me a ticket to my own show

revu Death Proof il y a une heure. Hier j'étais d'humeur un peu vorticiste ; en sortant du bar après le lever du jour j'ai pris un verre et une bouteille dans mes poches pour les briser dans la rue : ça ne fait pas autant de bien que ça en a l'air ; j'ai aussi balancé une grosse bouteille laissée sur le pas d'une porte par un lush et Gogo m'enviait beaucoup alors je lui en ai trouvé une autre -- c'est un peu jeu vidéo de chercher des bouteilles vides de cette façon. On a fini par franchir le pont vers l'Outremeuse pour prendre une bière et j'ai essayé de faire comprendre à un drunk, en insistant beaucoup, que Kylie Minogue est morte, mais il s'en foutait. Il nous a suivi jusqu'en bas de chez nous mais s'est éloigné dans la Batte avec Gogo qui voulait de la

Death Proof, donc, tous ces côtés midinette c'est excellent : we went to the movies and I let him hold my hand, pour faire dire ça à une nana qui a la gueule de bois et qui boit de la vodka red bull en pleine journée faut être fort, autant que pour l'éternument contrarié de Stuntman Mike. Est-ce qu'on n'apprend pas brutalement que tout a une fin ? dans le Club, dans Saturday Night Fever, dans Superbad etc., la Maman et la Putain. Y a aussi ce regard plein d'amour d'Abernathy qui passe de la crainte à la fascination pour Zoé au début de la séquence de ship's mast, les larmes de Kim et tout ça. et le dialogue du carnet qui provoque v ferlito au lap dance... le film s'apesantit constamment : c'est ce qui le rend si fascinant et agréable à regarder ; je m'aperçois que c'est la spécialité de Q, son génie qui consiste à jouer aussi finement de dialogues lourds comme celui du carnet (quand Stuntman Mike explique qu'il a un actual book et que Butterfly va rentrer dedans sous chicken shit) ou à peu près toutes les répliques de rose mcgowan (quand elle tient à préciser qu'elle ne veut pas coucher avec Mike par exemple). C'est moi ou le débit des dialogues ralentit brusquement après Pulp ou bien Brown ? prends les soliloques trop écrits de Bill sur Superman ou sur la mort, le jeu même d'U (c'est fou de s'appeler Beatrix Kiddo). Comment parvient-il à s'en sortir au moment où Sonny Chiba écrit le nom de Bill sur un carreau embué ? Quel risque il prend ! et à côté de ça il y a la première scène avec Sonny Chiba, quand il se chamaille avec son assistant, où Q réussit à rappeler que derrière les airs de fillette qu'elle affiche, B est une tueuse (ça se produit au moment où elle évite un coup de coude perdu en baissant la tête). c'est quand même inouï de forcer autant le trait par moments sans se planter : faudrait que je relise l'entretien dans les Cahiers mais je ne peux pas, et la critique de ju mais d'abord je voulais


(it's hard to hold the hand of anyone who's reaching for the sky just to surrender)

que se passe-t-il dans Little One ? je ne comprends pas dis-moi c'est vraiment fou. Ce que tu as écrit sur P&R est bouleversant : il faudrait que je réponde à ton invitation en te donnant mon avis mais je vais me mettre dans la peau de Stella plutôt. j'aime bien Naulleau, il me fait penser à Gontran -- certaines intonations je crois


(GG) but even you should know that jealousy clashes with LL Bean pants merci Z j'avais oublié, lis mon blog


Saturday 17 May 2008

j'arrive

après un début Young Folks et une phase Midnight Boom, peut-être pas encore terminée, je pense qu'il est temps pour Gossip Girl de passer carrément 3rd ; ainsi, grâce aux deux albums les plus dansants de ces dernières années, on pourrait peut-être espérer, entre autres fulgurances, une scène dans un uptown club

un exemple du rayonnement de 3rd sur la décennie : avec We Carry On ils ont compris ce qu'Arcade Fire ont oublié
(si seulement tu avais mis cette chanson, ou Machine Gun, au lieu de Stress, sur la route vers Aix, on n'en serait pas là)

pour le reste,
(Marie a trente ans aujourd'hui)

Friday 16 May 2008

don't forget the $700 voucher

"hey you, how have you been? just wanted to say hi and see how things are going... i just finished school for the semester, so now it's summer and the weather in new york is super nice. you should come back!"



... P&R, 3rd, saturday night f-far from m, etc. (GG)

Thursday 15 May 2008

my t

it's four in the morning, the end of December
(da da da-da da)
I'm writing you now just to see if you're better
New York is cold, but I like where I'm living

au fait t'as pas le sentiment que GB & BG ont passé dix ans à absorber tout ce qui se fait de mieux pour en sortir leur concentré ? leur Goodbye Twentieth Century ?

Wednesday 14 May 2008

we're the non judging Breakfast Club

premiers mots sur la série, datés de décembre dernier : "Cruel Intentions à l'échelle d'une série avec mon motif préféré, le retour dans la place du pire de tous repenti, devenu étranger à un monde qui tournait autour de lui

Gossip Girl; je sais pas si c'est bien encore, mais c'est irrésistible"

à quoi on m'avait répondu que cet aspect s'efface assez vite et que la série perd de son intérêt : non seulement la série ne perd rien, mais les démons de S la rattrapent (sous 'Hook and Line' playin', ça n'en finit pas et ça devrait te convaincre mieux que tout ce que je ne t'ai - tiens tiens - jamais dit sur la série) ; et ses meilleurs amis, des gens qui se haïssent entre eux et qu'elle déteste souvent, mais qui parlent le même langage et connaissent ses charmes (même au bord de la rupture, donc ils l'aiment), se retrouvent autour d'elle ; ce qui fait un groupe, donc, une référence au Club, Merteuil, Valmont, Leroy, the M Boy etc. - je ne fais que le rappeler -, voilà de quoi elle est faite, la série, en plus de réussir à faire vivre des jeunes de vingt ans chez leur parents, de rattraper une destruction totale en moins de vingt minutes (de ce point de vue l'épisode est un sommet et de toute façon la série ne s'amuse qu'à ça), de ne dater un milieu que par les apparences et les gestes (ah je repense à la Frontière Chinoise et à Bobby Highway 61 Dylan qui déboule dans une mission américaine : c blanchett ressemble finalement beaucoup plus à a bancroft qu'à k hepburn)




l'ennemie du non judging BC, G, je commence à les trouver ennuyantes, toutes ces meufs brunes maquillage sombre et yeux clairs ; disons mieux, c'est l'effet qu'elles ne manquent jamais d' sur moi qui me balls, et ces têtes de petits animaux elles se passent le mot c'est pas possible

he he rien n'est jamais acquis pour aucun d'entre eux, malgré tous les moyens qu'on leur donne, nothing is taken for granted, tout peut s'écrouler c'est bien l'Amérique ; -- et quand une affaire ne concerne pas les plus jeunes, on ne les cast même pas

tu sais, je doute qu'on se retrouve un jour à Cannes ; ça n'est que le meilleur des souvenirs -- l'espoir n'y est plus : je l'ai compris aujourd'hui (suffit de lire ... malheureusement, pour comprendre qu'il ne faut surtout pas y retourner)

au passage, trompe night, avec une tournure comme ça il y a de quoi tomber un peu amoureux, même dans un blog : c'est un peu comme I've seen nothing but the moon





s'agit peut-être d'un simple coup de pub
je parlais des cahiers

je viens de voir le dernier How; je crois que c'est Britney, aidée par Barney, qui va provoquer sans le vouloir la rencontre entre Ted et sa future : it's fairly obvious, try to keep up

Tuesday 13 May 2008

tous trentenaires

... une génération ne promet rien aux suivantes, dans ce milieu c'est impossible ; mis à part un dîner offert à 60 euros (comme chez les faux bouquinistes de montparnasse : les livres sont gratuits mais en échange il faut donner un peu d'argent). je ne vous laisse qu'un mouchoir

trompe night

"yea like I said last night wasn't exactly my idea of fun. Dave took off - what - thirty seconds after I'd walked in ? I came because of that ... T told me I had to meet, but he'd already told me he himself wouldn't be there. Oh she was a ball, but she's staying like two weeks so what're you gonna do... Someone did go ambulance in the kitchen but, you know, I left early and was in bed by


***
avec des jeeps comme celle de la pentecôte, tu m'étonnes que la vue de ton balcon te donne des idées de dispositif...


... il y a quelque chose d'essentiel dans ces relations, une question de charme...

Monday 12 May 2008

five

Coppola
GVS
Lynch
AW
HHH
(je t'ai pas dit mais quand t'étais pas là j'ai revu Café... ... hahaaah oh oui! je la vois la grenouille)

Tarantino, MM

Wes, Shy

JLG, Rohmer

ah ah, mon but initial était de placer QT dans les five, justement, ben tant pis ça bouge de toute façon. je suis en train de relire Death Proof en écoutant Midnight Boom c'est pour ça

c'est quoi le pire dans l'histoire ?

je vous laisse juste le temps -
deux s à johansson

Sunday 11 May 2008

GG

le surjeu de Chuck, délectable en soi, toujours rattrapé par des instants brillants; l'importance qu'il donne à la famille; le plan sur Lily en robe de mariée et Rufus dans le miroir; les rimes shakespeariennes; le dépôt des armes par J; l'incarnation instantanée, au détour d'une phrase à double sens, de Gossip Girl en pure evil ("because I can, because I know things about ... and I know them before you do"); le train-train rompu avec fracas; U.R.A. Fever au café de Vanessa puis à la fin, what'd I tell you

à propos du glamour, justement, il y a S, au fond du trou, complètement effacée, l'ombre d'elle même derrière une épaisseur de fond de teint dont elle s'était toujours passée jusque-là

non j'ai eu une intuition, que j'ai perdue
le glamour se mesure parfois au nombre de détails qu'une créature offre à notre commentaire, - d'où les émissions d'E!, mal faites - ; à propos de GG il faut aller voir l'interview du styliste de la série, qui commente brièvement l'opposition entre B et S, ce qui fait que leur amitié fonctionne si bien physiquement (tout comme celle de Chuck et Nate) : le soin accordé aux tenues est toujours immense dans une série j'imagine, mais celle-ci repose tout entière sur lui, et c'est ça qui est fort -- on en revient à cette idée que Blake et Leighton, Penn, Chase et Ed sont dans leur rôle comme dans une seconde peau, et très bien interchangeables, tout en même temps

au passage, j'oubliais, pour Chuck, son gilet avec des poissons à la fin du 14 : je veux le même, obviously

Friday 9 May 2008

idle slim diary

là-haut, c'est la fenêtre de la chambre où Jean s'est flingué... c'est drôle

rêvé d'IVK cette nuit qui, sous les traits de Jenny Humphrey, et parfois brune, m'en voulait de parler d'elle je crois, un peu comme la petite amie actuelle de Ted (devine comment elle s'appelle). -- Au passage, l'épilogue de cette histoire nous apprendra une séparation, sinon il ne raconterait pas tout ça c'est évident. -- Puis de Penelope de GGirl qui me réservait un silent treatment mortel à tout espoir de recoucher avec elle.
Tout à l'heure j'ai croisé Christina Ricci+Sophie Castel à un vernissage; VV (de Montpellier), il y a une semaine, remarquait à quel point je ressemble à mon père : je compte sur la taille du centre ville pour la recroiser ; -- c'est ici qu'on devrait prendre nos quartiers, dans un appartement à trois étages avec un escalier art nouveau, par exemple IVK pense-t-elle à la mort ?

Steam-
boat
Bill,
Jr

j'en rajouterai plus tard j'attends de

que le second vernissage de la soirée offre un nombre vertigineux de hardbodies, dont la plus belle de toutes ; qu'on peut fumer dans la salle et f-fumer dans la cour donc je ne fais que penser à

Claire me rassure sur le suicide de Gilles, qui ne m'inquiète plus

Tuesday 6 May 2008

GG : que chacun ait l'habitude de passer voir les autres comme on se présentait chez Madame en espérant qu'elle reçût : dès qu'on en a besoin et qu'on a le temps devant soi, on prend une voiture et on se rend chez ... (je rêve du jour où je ne me déplacerai que conduit) ; que l'âge des acteurs traduise la précocité des personnages, précocité datée d'un milieu et d'une époque, précisément ; que, paradoxalement, la parfaite conformité entre chaque personnage et son apparence m'oblige à penser que les cinq acteurs principaux sont interchangeables ; et 'Sour Cherry' dans l'ép 14, of course

(je ne vois toujours pas ce que tu attends pour t'y mettre sérieusement)

IVK sur la corde

“You thought you knew me, you see. That’s why you couldn’t get what you expected. I can’t be alone; I needed you, but your timing was always wrong. As far as I remember I never got to see you at the right time and place. Bitch needs her crowd ? of course ! all you had to do is stick around long enough to get me all for yourself, but you always forced yourself instead. I am not going because of you. Yes I was hurt and angry, but I’m a little bit coast to coast, you know. Feelings can be stirred – I’m bent on leaving. You’ll say I started running when you dragged me to the ground, won’t you. I’m taking a walk around god knows where and I know you think I won’t make it, that I’ll come back begging for attention and honestly, it doesn’t even matter if you’re right – I’d rather be deluded and self-conscious in a place that feels open than not care about anything in stupid sketchy ass … where everyone’s been stuffed since I can’t remember. You never could make out forwards from back – I’ll look down on the up side and up... I’ll think of you when I’m standing
on
a

Thursday 1 May 2008

HWH's Monkey Business

...deux premières séquences du Monkey Business de Hawks, isolées, feraient un sublime court métrage sur un couple (Hôtel Chevalier) ; elles annoncent une comédie romantique douce et classe ; mais un poison slapstick contamine bientôt le film...

j'aimerais t'avoir sous la main pour te le montrer, ce début, tu n'en reviendrais pas; il y a Marilyn Monroe aussi qui est parfaite en midinette : Cary Grant retrouve ses vingt ans et à partir de ce moment il lui plaît - elle est tout émoustillée quand il l'emmène faire un tour dans le bolide qu'il vient de s'acheter

IVK's blog

"(she knows a lot), ridiculous because of her relationship with R, they share everything and I can’t help but think it’s really sketchy – like whenever I say something to one of them, the other is told about it the same day. Now R thinks he knows me as much as B does, it’s really annoying. He even makes fun of me the way B would only because he’s seen her make fun of me that way and thinks he’s in a similar position, but he’s not and"