Sunday 11 May 2008

GG

le surjeu de Chuck, délectable en soi, toujours rattrapé par des instants brillants; l'importance qu'il donne à la famille; le plan sur Lily en robe de mariée et Rufus dans le miroir; les rimes shakespeariennes; le dépôt des armes par J; l'incarnation instantanée, au détour d'une phrase à double sens, de Gossip Girl en pure evil ("because I can, because I know things about ... and I know them before you do"); le train-train rompu avec fracas; U.R.A. Fever au café de Vanessa puis à la fin, what'd I tell you

à propos du glamour, justement, il y a S, au fond du trou, complètement effacée, l'ombre d'elle même derrière une épaisseur de fond de teint dont elle s'était toujours passée jusque-là

non j'ai eu une intuition, que j'ai perdue
le glamour se mesure parfois au nombre de détails qu'une créature offre à notre commentaire, - d'où les émissions d'E!, mal faites - ; à propos de GG il faut aller voir l'interview du styliste de la série, qui commente brièvement l'opposition entre B et S, ce qui fait que leur amitié fonctionne si bien physiquement (tout comme celle de Chuck et Nate) : le soin accordé aux tenues est toujours immense dans une série j'imagine, mais celle-ci repose tout entière sur lui, et c'est ça qui est fort -- on en revient à cette idée que Blake et Leighton, Penn, Chase et Ed sont dans leur rôle comme dans une seconde peau, et très bien interchangeables, tout en même temps

au passage, j'oubliais, pour Chuck, son gilet avec des poissons à la fin du 14 : je veux le même, obviously

1 comment:

'33 said...

le glamour comme synonyme de maquillage ?