Wednesday, 14 May 2008

we're the non judging Breakfast Club

premiers mots sur la série, datés de décembre dernier : "Cruel Intentions à l'échelle d'une série avec mon motif préféré, le retour dans la place du pire de tous repenti, devenu étranger à un monde qui tournait autour de lui

Gossip Girl; je sais pas si c'est bien encore, mais c'est irrésistible"

à quoi on m'avait répondu que cet aspect s'efface assez vite et que la série perd de son intérêt : non seulement la série ne perd rien, mais les démons de S la rattrapent (sous 'Hook and Line' playin', ça n'en finit pas et ça devrait te convaincre mieux que tout ce que je ne t'ai - tiens tiens - jamais dit sur la série) ; et ses meilleurs amis, des gens qui se haïssent entre eux et qu'elle déteste souvent, mais qui parlent le même langage et connaissent ses charmes (même au bord de la rupture, donc ils l'aiment), se retrouvent autour d'elle ; ce qui fait un groupe, donc, une référence au Club, Merteuil, Valmont, Leroy, the M Boy etc. - je ne fais que le rappeler -, voilà de quoi elle est faite, la série, en plus de réussir à faire vivre des jeunes de vingt ans chez leur parents, de rattraper une destruction totale en moins de vingt minutes (de ce point de vue l'épisode est un sommet et de toute façon la série ne s'amuse qu'à ça), de ne dater un milieu que par les apparences et les gestes (ah je repense à la Frontière Chinoise et à Bobby Highway 61 Dylan qui déboule dans une mission américaine : c blanchett ressemble finalement beaucoup plus à a bancroft qu'à k hepburn)




l'ennemie du non judging BC, G, je commence à les trouver ennuyantes, toutes ces meufs brunes maquillage sombre et yeux clairs ; disons mieux, c'est l'effet qu'elles ne manquent jamais d' sur moi qui me balls, et ces têtes de petits animaux elles se passent le mot c'est pas possible

he he rien n'est jamais acquis pour aucun d'entre eux, malgré tous les moyens qu'on leur donne, nothing is taken for granted, tout peut s'écrouler c'est bien l'Amérique ; -- et quand une affaire ne concerne pas les plus jeunes, on ne les cast même pas

tu sais, je doute qu'on se retrouve un jour à Cannes ; ça n'est que le meilleur des souvenirs -- l'espoir n'y est plus : je l'ai compris aujourd'hui (suffit de lire ... malheureusement, pour comprendre qu'il ne faut surtout pas y retourner)

au passage, trompe night, avec une tournure comme ça il y a de quoi tomber un peu amoureux, même dans un blog : c'est un peu comme I've seen nothing but the moon





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